Les paysages naturels tels les lacs et les forêts font partie prenante de l’histoire des Laurentides et donc, de Sainte-Marguerite également. Ils en sont la richesse.
Tout comme en Abitibi, en Gaspésie ou au Saguenay, les humains sont tributaires des éléments naturels et apprennent à la apprivoiser.
Voici donc quelques images anciennes de paysages.
De haut en bas :
Vue du lac Masson vers 1915. On y aperçoit le lac Masson ainsi que le pont. Cette vue est restée inchangée.
Photographie prise de la rue Du Sommet, autour de 1925. Dès 1864, le lieu est reconnu village.
Excursion de pêche au lac Dupuis. Depuis toujours, la chasse et la pêche ont été d’abord un mode de survie, puis un loisir. Ici, pêche vers 1930 – époque où le tourisme de loisir débute – menée par Monsieur Beauvais qui, semble t-il, était un spéte de cette activité.
Le quai d’embarquement Le tourisme se développe en réponse à un besoin d’air pur, de «se refaire une santé» dans un endroit où la nature est omniprésente, et où l’on peut flâner et s’adonner à la marche, la chasse, la pêche, etc. Les Laurentides verront donc affluer les touristes plus fortunés découvrir les beautés naturels des lieux. Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson n’échappe pas à cette vague et le chemin de fer est un moyen de s’y rendre et l’environnement en fait un endroit très recherché.
Source: Société d’histoire de Sainte-Marguerite du Lac Masson et D’Estérel