Fonds d’archives

La Société d’histoire détient l’un des plus importants fonds d’archives des Laurentides. Il est composé entre autre de 27 fonds distincts, de plus 3000 photos, de 700 plans, de 100 livres, de 14 tableaux et de 10 pièces muséales. L’ensemble de ces documents, qui témoignent de notre histoire, peut être consulté par tous, sur rendez-vous.

Notez que la Société est constamment à la recherche d’archives (documents, photos, plans, etc.) et autres objets anciens qui pourraient avoir un lien avec l’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel. Si vous désirez les céder à la Société, un fonds d’archives pourra être créé à votre nom ou celui d’un ancêtre. Nous pouvons émettre un reçu officiel pour fins d’impôts.

1P Fonds Maurice Duhamel  1912 – 1999

Environ 0,60 m de documents textuels. 92 documents iconographiques. 198 plans et documents cartographiques.

Histoire administrative/Notice biographique :

Maurice Duhamel est né en 1910 et est décédé le 17 janvier 1999 à l’âge de 88 ans. Il se en 1931 avec Liliane Gaudet et ils ont cinq enfants. C’est en 1938 qu’ils s’installent à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Monsieur Duhamel pratique plusieurs métiers au sein de l’équipe canadienne des compagnies du baron Louis Empain. En 1937,  la Compagnie immobilière de Sainte-Marguerite l’engage. C’est sous la Compagnie Auxibel qu’il devient en 1938 responsable de l’intendance des bâtiments et des chalets du Domaine d’Estérel. Lors de travaux de construction du « Sporting Club » il est le chef du chantier. De 1944 à 1953, il siège comme secrétaire, au comité d’administration de la Société coopérative de consommation du Lac Masson dont il est l’un des membres fondateurs. Suite à la vente du Domaine, il est secrétaire de la Municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et ce pour de nombreuses années. En plus de ses responsabilités, la Municipalité en 1960 le reconduit au poste d’évaluateur pour la confection du grand rôle d’évaluation de la Corporation de la Paroisse de Sainte-Marguerite. Il est nommé président d’élection pour les élections municipales de 1960.

Durant plus de 60 ans M. Duhamel a ramasse, collectionne, sélectionne des tas d’articles de journaux et revues, des photos, des documents qui touchent son travail. Cet homme est apprécié pour sa débrouillardise, son sens du travail bien fait, son honnêteté, son esprit méticuleux, sa discrétion, il est, dit-on,  «un homme de coulisse ». On lui confie toutes sortes de tâches, parfois des dossiers que ses supérieurs n’arrivent pas à produire. Il se débrouille et produit, avec ingéniosité et rigueur, son travail en respectant les délais. Qu’il s’agisse d’un plan promotionnel destiné aux agences de voyages de New York ou de retrouver les skis de fond de Georges Simenon, tous peuvent compter sur lui.

Ses enfants estiment qu’il avait tous les talents (sauf le sens de l’orientation et la notion du temps). Il dessine, peint, bricole des tas d’objets avec un sens artistique indéniable. Il fut membre de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson qui le considère comme un pilier et aussi comme « la mémoire vivante de Sainte-Marguerite ».

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été acquis de la famille par l’architecte Jean Damecour qui, en tant que membre de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, l’a remis à la société.

Portée et contenu :

Le fonds, divisé en sept séries, témoigne principalement de l’administration et du développement du Domaine d’Estérel et des activités et de la gestion de la Corporation municipale de la Paroisse de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Une portion du fonds concerne l’intérêt de Maurice Duhamel pour la ferme Saint-Sulpice d’Oka, pour la décoration intérieure et pour la cartographie de certains cantons et lacs des Laurentides. Des documents font état des résidences de Maurice Duhamel, Georges Courey, Camille et Joseph Comellas et Léo Laporte notamment.

Le fonds comprend principalement des procès-verbaux, des coupures de presse, des statuts et règlements corporatifs, des rapports annuels, de la correspondance, des règlements municipaux, des spicilèges ainsi que des esquisses et plans de résidences. Il contient aussi un manuscrit, des cartes, des plans de localisation, des revues de décoration et des photographies.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont principalement en français, certains sont en anglais.

Certains documents sont endommagés et fragiles.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

Instrument de recherche : Répertoire numérique, Michèle Dubuc, 2001.

2P Fonds Robert Lavigne (1938) – 2005

1,35 m de documents textuels. 50 photographies de résidences de l’Estérel

Histoire administrative/Notice biographique :

Robert Lavigne est diplômé de médecine de l’Université de Montréal en 1954. Le docteur Lavigne est l’un des 25 premiers résidants de Ville Estérel. Il s’implique auprès des jeunes et des activités sportives créées par la ville dont le camp de vacances. Durant de nombreuses années, il est en charge avec son épouse Lucie Graton de la rédaction du « Journal des résidents d’Estérel ». Curieux, généreux plein d’entre gens le Dr Lavigne reste simple et participe avec ardeur au développement de la Société d’histoire. Grâce à ses relations avec les autorités municipales dont la mairesse Mme Violette Gauthier, la Société va pouvoir occuper des locaux dans le Centre Culturel du Baron Empain. Il est membre du conseil d’administration du centre hospitalier Notre-Dame de l’Espérance à Ville Saint-Laurent. Avec Marcel Roy et Luc Morin, il fonde les Demeures Sainte-Croix en 1987. Organisme privé sans but lucratif, les Demeures Sainte-Croix offrent des logements abordables aux personnes âgées. En 1992, il fonde la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson/Estérel afin de promouvoir et protéger le patrimoine bâti du Baron Louis Empain et éveiller le goût de l’histoire de la population de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson ainsi que celle de Ville Estérel.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds est ouvert et Dr Lavigne continue de remettre des documents à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson /Estérel.

Portée et contenu :

Les documents du fonds reflètent l’intérêt de Robert Lavigne pour l’histoire des municipalités de Sainte-Marguerite, de l’Estérel ainsi que pour le Baron Empain et le peintre Jean-Paul Riopelle. Il est question notamment de l’histoire paroissiale, des hôtels la Pointe Bleue, le Chalet Cochand, l’Estérel et du Alpine Inn, de la famille Masson, du baron Louis Empain, de Simone Lecart et de Georges Simenon ainsi que le la protection du Lac et de l’environnement.

Une portion des documents concernent la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson/Estérel ainsi que la fondation des institutions et organisme suivantes : Musée des arts, Entre voisins et chapelle Saint-Bernard (Sainte-Adèle).

Le fonds contient principalement de la documentation de recherche composée de coupures de presse et de notes, de livres, de photos de résidence de Ville Estérel. Il comprend aussi de la correspondance et des imprimés.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont principalement en français, certains sont en anglais.

Certains documents sont endommagés et fragiles.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

D’autres versements sont prévus ultérieurement.

3P Fonds Jean Damecour 1995 – 2012

30 documents textuels, 30 iconographiques, 5 affiches- une pièce muséal, 1plan original de l’architecte Courtens.

Histoire administrative/Notice biographique :

Jean Damecour est architecte à Saint-Marguerite et s’intéresse particulièrement à l’art moderne. Il a poussé ses recherches sur l’architecte belge, Louis Courtens qui a construit plusieurs édifices à Sainte-Marguerite et en Belgique. M. Damecour participe à plusieurs organismes dont un belge pour faire connaître l’œuvre de Courtens et sauver les bâtiments de Sainte-Marguerite-du Lac-Masson. De plus il a eu le privilège de travailler à la restauration de l’édifice la Pointe Bleue. Il découvre  les méthodes de construction utilisée en 1936-37 qui lui permettent de conseiller les restaurateurs d’édifices de cette époque.

Très impliqué dans la communauté du lac Masson, il a à son actif plusieurs constructions et rénovations d’édifice et de résidences privées. Il est le président de la Société d’histoire jusqu’en octobre 2012.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds est ouvert et M. Damecour remets des documents au fur et à mesure de ses découvertes à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson /Estérel.

Portée et contenu :

Les documents reflètent l’intérêt de Jean Damecour pour l’art Moderne et l’œuvre d’Antoine Courtens.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies, des textes, des plans et affiches.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

D’autres versements sont prévus ultérieurement.

4P Fonds Henri M. Masson 1920 – 1960 

53 cartes postales

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Henri M. Masson est un descendant direct de l’honorable Joseph Masson, seigneur de Terrebonne et premier a développer Sainte-Marguerite vers 1853. La famille Masson construit un moulin à scie à l’extrémité ouest du lac. Elle a donné le terrain de l’église et construit une résidence sur une grande propriété derrière le couvent. Cette demeure est toujours la propriété d’un Masson. M. Henri M. Masson a passé de nombreux été à Sainte-Marguerite avec les membres de sa famille.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été acquis de M. Masson par le Dr Lavigne qui, en tant que membre de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, l’a remis à la société.

Portée et contenu :

Le fond reflète l’intérêt de M. Masson pour le paysage de Sainte-Marguerite et le lac Masson. Il accumule plus de 50 cartes postales, 8 photos. L’acte de concession 1864, des contrats de la correspondance, un dossier sur la création d’un blason.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des cartes postales.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

5P Fonds Maurice Décarie 1938 – 1950 

40 photographies

Histoire administrative/Notice biographique :

Maurice Décarie ingénieur, Arthur Dansereau cr. et Salvatore Randaccio ingénieur acquièrent le Domaine Estérel en juillet 1958 du Baron Louis Empaim. Par la suite, ils vendent 80% du domaine Estérel à Fridolin et Thomas-Louis Simard de Simard & Baudry Inc., compagnie de construction en voirie. Les terrains du tour du Lac Masson formèrent la Ville d’Estérel en 1959 et les Décarie, Dansereau et Randaccio conservent la pointe où se trouvent le Centre Commercial et l’Hôtel Pointe Bleue. La famille de Maurice Décarie vint à Ste-Marguerite durant de nombreuses années comme estivants.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été acquis de Marc Décarie fils de Maurice par l’entremise de la Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, en février 2009.

Portée et contenu :

Les documents du fonds sont 31 photos noir et blanc et 8 cartes postales du Domaine Estérel conçu par l’architecte Antoine Courtens pour le Baron Louis Empain. On y découvre les quatre bâtiments principaux du Domaine de 1937 soit : L’hôtel la Pointe Bleue (manoir Pointe-Bleue), le Centre Sportif (l’Hôtel Estérel), le Centre Commercial (Centre culturel) et l’Estérel Lodge (Auberge du Baron). S’ajoute : le hangar pour hydravions, les différentes villas rustiques. Une photo aérienne du Domaine et une illustration de l’activité des soirées dans la salle de spectacle le Blue Room.

Des photos inédites d’Édouard Coméllas de l’incendie qui détruisit en parti le Centre Commercial en 1945 nous démontre l’ampleur du sinistre.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies noires et blanches.

Les photographies ont été numérisées.

6P Fonds inactif

Ce fonds a été rendu à la ville de Sainte-Adèle par René Bauset, le donateur.

7P Fonds Édouard Gauthier 1918 – 2007 

-1918-2007. – 30 cartes postales, – 20 de photographies, des feuillets publicitaires de l’Hôtel Belmont, une lettre, un journal et un contrat de vente deux terrains. Une édition du journal « La Famille » Mars-Avril 1964

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Gauthier est né à Sainte-Marguerite le 1e avril 1918. Il fut le propriétaire de l’Hôtel Belmont.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été acquis de Mme Simone Gauthier épouse de Édouard Gauthier.

Portée et contenu :

Le fonds comprend plusieurs cartes postales du Chalet Cochand et de Sainte-Marguerite. Quelques photographies de la famille de M. Gauthier ainsi que d’un feuillet publicitaire de l’Hôtel Belmont de Sainte-Marguerite. On compte aussi un numéro de journal qui parle de l’église de Ste-Marguerite.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies noires et blanches, cartes postales et des documents textuels.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

8P Collection Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-lac-Masson et d’Estérel

2,40 m de documents textuels. – 1680 documents iconographiques. – 1 microfilm. -10 huiles sur toile – un morceau d’aqueduc en bois.

Histoire administrative/Notice biographique :

La Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-lac-Masson/Estérel a été fondée en 1992. Elle vise à promouvoir la protection et la diffusion du patrimoine historique, archivistique, photographique et architectural de la Ville de Sainte-Marguerite-Estérel, formée en octobre 2001 par la fusion de la Paroisse de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et de la Ville d’Estérel. Les localités voisines de Sainte-Marguerite-Station (partie de la Ville de Sainte-Adèle) et d’Entrelacs (qui occupe l’autre partie de l’ancien canton de Wexford) sont aussi touchées par les actions de la Société, de par leurs interactions passées avec l’histoire de Sainte-Marguerite. Le secrétariat et les archives de la Société ont déjà occupé un local au Centre communautaire de Sainte-Marguerite-Estérel, dans l’ancien Centre commercial art déco du Domaine d’Estérel, construit en 1936 selon les plans de l’architecte belge Antoine Courtens pour le baron Louis Empain.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Dans le cadre de ses mandats, la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson /Estérel a rassemblé des archives originales, copiées ou transcrites. Ces pièces sont offertes par des membres actifs ou par des individus non membres mais se souciant de perpétuer la mémoire des individus, des familles et du bâti de ces municipalités.

Portée et contenu :

La collection se rapporte principalement à l’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, l’Estérel et leurs environs. Elle témoigne de sujets historiques et culturels et comprend plusieurs documents en lien avec le patrimoine bâti ainsi que des familles et des individus qui ont marqué l’histoire régionale. On trouve notamment des documents sur le photographe Édouard Comellas; Victor Nymark, Jean-Paul Riopelle, Georges Simenon; les membres des familles Masson, Brisebois, Charbonneau, Huberdeau, Lavigne, Pepin et Séguin; le Domaine Empain; le Alpine Inn, l’Hôtel Estérel, le Manoir du Lac Masson; le moulin à scie; les ponts et les lacs.

La Société possède  25 huiles sur toile qu’elle a reçue de la famille Schulz qui passait leur vacances à Sainte-Marguerite. M. Schulz a peint des paysages de la région immédiate.

Notes :

Titre basé sur le contenu de la collection.

Les documents sont principalement en français. Certains sont en anglais.

D’autres versements sont prévus ultérieurement

9P Fonds Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-lac-Masson et d’Estérel

1,10 m de documents textuels et iconographiques. – 47 documents sonores. – 15 documents vidéo cassettes.

Histoire administrative/Notice biographique :

La Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-lac-Masson/Estérel a été fondée en 1992. Elle vise à promouvoir la protection et la diffusion du patrimoine historique, archivistique, photographique et architectural de la Ville de Sainte-Marguerite-Estérel, formée en octobre 2001 par la fusion de la Paroisse de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et de la Ville d’Estérel. Les localités voisines de Sainte-Marguerite-Station (partie de la Ville de Sainte-Adèle) et d’Entrelacs (qui occupe l’autre partie de l’ancien canton de Wexford) sont aussi touchées par les actions de la Société, de par leurs interactions passées avec l’histoire de Sainte-Marguerite. Le secrétariat et les archives de la Société occupent un local au Centre communautaire de Sainte-Marguerite-Estérel, dans l’ancien Centre commercial art déco du Domaine d’Estérel, construit en 1936 selon les plans de l’architecte belge Antoine Courtens pour le baron Louis Empain.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Les archives ont été accumulées depuis 1992 par les membres du conseil d’administration et autres membres actifs dans le cadre de leurs fonctions et de leurs activités au sein de l’institution.

Portée et contenu :

Le fonds témoigne de l’administration et des activités organisées par la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson depuis sa fondation. Les documents font état des finances, des assemblées, de l’adhésion, des conférences offertes aux membres, des entrevues de citoyens et des publications réalisées par la Société. Parmi les sujets qui ont fait l’objet de conférences, notons : l’Hôtel Belmont, le Manoir Sainte-Marguerite, les moulins à scie, les chapelles, le magasin général Lavigne, le baron Empain, Antoine Courtens, Georges Simenon, le Château Quinté, Victor Nymark et les familles, Masson, Brière et Lecault notamment.

Le fonds contient principalement de la correspondance, des procès-verbaux des séances du conseil d’administration et des assemblées générales des membres, des documents relatifs aux membres (listes, cotisations, correspondance), des rapports administratifs et des documents financiers (états et rapports financiers, subventions, impôts). Il contient aussi les statuts et règlements, des coupures de presse, des vidéocassettes, des enregistrements sonores et des photographies.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom de la société.

Les documents sont en français

10P Fonds Garry Scott 

3 coupures de presse (nécrologie), généalogie, 1 livret,1 oraison, 1 photo

Histoire administrative/Notice biographique :

M Scott est apparenté avec la famille Scheffer.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Les documents ont été accumulés par le créateur du fonds.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement des documents se rapportant à la famille Sheffer dont Mgr Lionel Sheffer O.m.i. On retrouve les textes qui ont servi à la célébration lors du décès de Mgr Sheffer. Le livret de « L’histoire des familles Lajeunesse »

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont une photographie noire/blanche, des documents textuels.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

11P Fonds Chalet Cochand

films 16mm : 25 bobines

Histoire administrative/Notice biographique :

L’emplacement du Chalet Cochand, le premier centre de villégiature conçu pour le ski débuta à l’hiver 1916. Lors que la première guerre mondiale Émile Cochand qui enseignait le ski, faisait des démonstrations de saut et enfin, se faisait tirer par des chevaux, toujours sur ses planches à Ste Agathe. La clientèle diminuant, Émile dut prendre le chemin de Montréal et se trouver un travail chez Henry Birks à faire des encadrements et des boites à bijoux.

Il venait de se marier et sa femme Léa attendait son premier enfant. Le couple ne voulait pas vivre à Montréal, alors Émile et Léa Cochand profitèrent d’un congé pour venir visiter un ami, Jack Kerr à Ste-Marguerite-Station. La terre était à vendre et comprenait un chalet d’été, une maison, une grange et deux lacs. Émile conclut qu’il pouvait ouvrir un centre de sport. Il décida de louer avec option d’achat la propriété de 500 acres, le tout pour 500$. Le chalet était sans eau courante, ni électricité et les toilettes étaient à l’extérieur, un poêle à bois servait de chauffage, mais le chalet possédait une splendide véranda grillagée. Le premier hiver fut difficile puisque de nombreux skieurs s’étaient enrôlés. Émile coupa du bois et ils survécurent grâce au « Montreal Ski Club » qui envoya quelques membres. Lorsqu’ils avaient des clients, Cécile, une employée, apportait un seau d’eaux chaudes chaque matin dans chacune des chambres avant que les clients descendent déjeuner. Elle s’occupait aussi de vider les pots de chambre12.

En 1918, l’auberge fut agrandie pour augmenter sa capacité à vingt chambres. Émile avait ajouté un étage et avait conservé la grande galerie.

Les premières années furent pénibles. Souvent le Chalet fut isolé suite aux tempêtes de neige car la route était fermée entre la station de train et le Lac Masson. Chaque fermier devait ouvrir son bout de chemin devant sa propriété. Alors Lea Cochand devait faire des prodiges pour nourrir les clients puisque l’approvisionnement se faisait à Ste-Marguerite-du-Lac-Masson. En 1918, la grippe espagnole força les Cochand à fermer l’auberge durant quatre mois.

Émile coupa du bois autour du marécage qui se trouvait de l’autre côté du chemin et construisit un barrage afin de créer le lac Lucerne, puis il ouvrit des pistes et des côtes de ski. L’année 1919 fut excellente. Des élèves des écoles : Westmount High, Montreal High, Lower Canada College et Strathcona vinrent apprendre à faire du ski.

En 1920, un employé, chargé de changer la paille d’un matelas, la déposa dans le poêle à bois. Un incendie se déclara et la maison brûla de fond en comble. Ils reconstruisirent l’immeuble avec tous les services et ce fut un succès immédiat. Bonne bouffe, au-delà de 100 km de pistes de ski de fond, la meilleure école de ski, l’anneau de patinage, les deux sauts et les côtes pour la luge. Les tarifs d’hébergement en 1924, étaient de 5.00$ par jour ou 25$ pour une semaine de sept jours. Il fallait ajouter 0.50$ pour le transport de la gare au Chalet. Le « Montreal Ski Club » y avait même établi ses quartiers.

Avec la popularité croissante de l’hôtel, la famille Cochand s’installa dans un chalet suisse bâti de l’autre côté du chemin. Un petit coin de la grande salle servait de boutique pour la vente de tricots faits main. Les clients pouvaient commander tuques, mitaines et même des chandails tout en choisissant les couleurs et les motifs. Léa prenait les mesures, puis expédiait la laine à ses tricoteuses. Le tout revenait en peu de temps, à la grande satisfaction des clients.

Pour favoriser l’essor du Chalet et les sports d’hiver, Émile avec Tom Wheeler et d’autres hôteliers, créèrent la « Laurentian Resorts Association ». Celle-ci fut très dynamique et apporta beaucoup au développement de la villégiature des Laurentides en faisant de la publicité et des démonstrations de ski aux États-Unis.

En 1933, M. Lowell Thomas, commentateur de compétions de ski, fit une émission radio en directe du solarium. En 1936, l’hôtel accueillait en moyenne 70 clients par jour. Mme Cochand se chargeait des repas et favorisait pour l’hôtel les repas traditionnels suisse. La fondue au fromage, une spécialité du Chalet, fut le plat favori des clients sportifs.

Chacun des membres de la famille travailla dans l’entreprise pour développer le centre. Deux des fils dessinèrent des appareils qui s’ajustaient à la corde du « rope tow », pour créer le premier « J-Bar», puis le premier «T Bar». Des côtes s’ajoutaient pour favoriser le ski alpin. Un autre fils développa des chalets suisses.

Durant l’été, on invitait les gens à venir jouer au golf et au tennis, faire et voir du ski nautique, se baigner, assister à des ballets aquatiques, faire des compétitions dans la piscine olympique, faire de l’équitation, du tir à l’arc, au fusil et au pistolet. C’était la tradition de festoyer le jour de la fête nationale de la Suisse, le 1er août. La journée commençait très tôt le matin, même si la veille s’était terminée tard. Émile, dès 7h, éveillait l’auberge en tirant des coups de fusil. Ce moment passé, l’accordéoniste faisait le tour des chambres en invitant les clients à l’accompagner. Tout au cours de cette journée, les vacanciers aidaient à la décoration de la piscine avec de multiples drapeaux, participaient aux courses, s’engageaient aux concours de traction de corde et s’essayaient à la lutte suisse, toujours accompagnés de l’accordéon et des chants yodlés. Venait ensuite la mascarade. Léa s’affairait à aider les clients à inventer des costumes. Tout y passait : draperie, vieux chapeaux, abat-jour… Dans la soirée, il y avait, le fameux souper buffet, la danse, un festin et enfin à minuit, un gros feu de joie suivi d’un feu d’artifice.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le Chalet Cochand devint le centre de divertissement des soldats qui étaient stationnés à l’Estérel. Les dames organisaient des activités pour soutenir l’effort de guerre. Mrs W. R.G. Holt et Lady Morris travaillaient à trouver des commanditaires prestigieux pour les concours hippiques, les soirées de spectacles et les défilés de mode.

À la fin de la guerre, Émile vendit à ses fils, son entreprise. Louis obtint l’hôtel, les chalets et le Restaurant St-Bernard près du lac ainsi que 300 acres. Émile II, quant à lui, reçut 600 acres de terrain, avec au-delà de 100 km de pistes de ski de fond et les côtes de ski alpin. Louis Cochand ouvrit une côte derrière le Chalet au début des années 1950. La Swiss Hill fut équipée d’un «T-Bar» double et du premier télésiège. Au sommet de la pente, un restaurant, le « Swiss Hutte » fut bâtit. C’était la côte parfaite pour le ski de nuit, car les démonstrations de sauts de ski et les descentes aux flambeaux pouvaient se voir de l’intérieur de l’hôtel. On bâtit le Nikki’s bar, qui devint le lieu social par excellence des Laurentides.

De magnifiques saint-bernards accueillaient les invités. Un s’appelait Hansel et l’autre Gretel. Ils furent remplacés par Brock et Indy, puis par Brandy. Ces chiens portaient le traditionnel baril au cou. Les invités insistaient pour vérifier si c’étaient bien des vrais et en ouvrant le robinet, le liquide s’écoulait par terre. Alors Émile les emplissait d’eau plutôt que de cognac. Il en coûtait ainsi moins cher.

L’harmonie qui régnait entre les deux frères Cochand à la fin des années 50, fut détruite. La venue de l’autoroute, apporta des changements dans le mode de vie des skieurs. Il fut beaucoup plus facile de venir faire du ski pour une seule journée. L’hôtel devint beaucoup moins intéressant. Il n’était plus nécessaire de rester dans le Nord pour faire du ski.

Louis propriétaire de l’hôtel ne vit pas venir le coup. Les exigences des visiteurs avaient beaucoup changé. De plus, l’hôtel en bois devenait très coûteux à opérer. Il était trop petit pour recevoir des congrès, les assurances étaient exorbitantes, il aurait fallu installer des gicleurs et des salles de bains indépendantes… et quoi encore. Une fortune! L’hôtel continua à servir des repas copieux sous la gouverne du chef Ulric Lemieux, mais pour les skieurs, le temps sur les côtes était plus important que celui passé à manger. Ils préféraient la cuisine rapide du restaurent au pied de la côte. Puis une suite de mauvaises saisons, vint briser l’enthousiasme des Cochand.

En 1966, la Banque de Montréal saisit le complexe et trouva des acheteurs de Chicago, les frères Rizzos. Eux aussi trouvèrent l’aventure difficile et revendirent en 1970 à Yvan Coutu qui avec l’aide du gouvernement du Québec, ouvrit l’hôtel aux écoliers. Coutu fit faillite. L’immeuble principal fut démoli en 1988.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds Chalet Cochand a été acquis d’Heidi Cochand, fille de Louis par l’entremise de René Bauset qui, en tant que membre de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite, l’a remis à la société. La donatrice tenait à ce que le public ait accès à cette documentation et que celle-ci, reste intégralement aux archives de la Société d’Histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel et sur le territoire de Sainte-Marguerite. Elle nous a demandé de lui fournir une copie numérique.

Lors de la création du fonds en 2009, un travail de transfert (numérisation) des vingt-cinq films 16 mm a été effectué par un représentant de la Cinémathèque québécoise. Trois films seront probablement retirés du fonds n’ayant aucun rapport avec la famille et le chalet. Les films ont été transférés sur six vidéos cassettes numériques, sur un disque dur, puis dix DVD ont été gravés pour faciliter le visionnement. Une copie des dix DVD a été remise au donateur.

L’instrument de recherche du fonds Chalet Cochand a été produit conformément au niveau de description soit : le répertoire numérique simple. La description des documents audio visuels a été faite à partir des 25 bobines énumérées dans portée et contenue. Les films sont décrits en fonction de chacune des bobines. Le principe du respect interne du fonds ainsi que l’intégrité et le principe de provenance a été respecté.

Portée et contenu :

Le classement de ce fonds repose sur le contenu de chacune des 25 bobines de film 16 mm

Plusieurs films soit près de 42%, illustrent le ski au Chalet Cochand et ont été fait par des amateurs entre 1920 et 1970

Quatre films ont été fait par des professionnels.

Notes :

Aucune restriction à la consultation. Tous les documents du fonds peuvent être consultés sous la surveillance d’un responsable de la Société d’Histoire.

La reproduction des films devra être effectuée seulement à partir du disque dur des vidéos casettes numérique en possession de la Société. Les chercheurs s’engagent toutefois à assumer les coûts de reproduction.

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

12P Fonds Richard Gauthier

3 documents textuels, – 100 documents iconographiques.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Richard Gauthier est natif de Sainte-Marguerite. Il fut maire du village

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été acquis de M. Gauthier par le Dr Lavigne qui, en tant que membre de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, l’a remis à la société.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement des photographies et des textes de journaux sur Sœur Anne Félicité. Le tout a été numérisé.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des cartes postales.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

 

13P Fonds Édouard-Martin Comellas

Quelques documents textuels.  50 documents iconographiques, 14 négatifs 3 X 5 .

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Édouard-Martin Comélas est un photographe de père en fils. Actuellement âgé de 92 ans il conserve toutes les épreuves que son père et lui ont prisent au cour de leurs vie. Résidents de Sainte-Marguerite durant de nombreuse année, les Comélas ont été les photographes des Laurentides.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds est ouvert et M. Comélas veut remettre ses documents à son décès à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson /Estérel.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement des photographies et des négatifs

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des cartes postales.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

14P Fonds Hôtel Estérel

4 documents textuels – 3 film 16mm – 2 460 documents iconographiques – 1 008 plans d’architectes et cartographiques – 10 laminés

Histoire administrative/Notice biographique :

Les 1008 plans et cartes ont été sauvés de la destruction. Dans ce lot se trouvent 99 plans originaux du « Sporting Club » de l’architecte Antoine Courtens datant de 1938. On y a trouvé aussi tous les plans du Club Nautique de 1957 et de la création de l’Hôtel Estérel en 1963. Ce fonds possède aussi tous les plans des rénovations effectuées au cours des années de fonctionnement de l’Hôtel. S’ajoute à cette découverte des plans de maisons privées et de chalets ainsi que le Plan d’urbanisme de Ville Estérel conçu par Jean Claude Lahaie et Roger Gagnon. Les quelques 2460 photographies dormaient dans quatre boites de carton dans le fond d’une pièce à terre. La poussière y avait fait son œuvre. On y a retrouvé parmi ces photos un ordinateur portable, deux disquettes, dix laminés ainsi que des fils de branchement.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds de l’hôtel a été créé en juin 2012 lors de la démolition du poste d’essence situé à côté de l’hôtel. C’est grâce à l’implication citoyenne de M. Jacques Labelle responsable administratif du Golf, de Paulette Martin et du directeur général de l’hôtel M. François Dallaire. Le fonds appartient à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson/Estérel.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement des plans, des diapositives et des photographies couleurs.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du commerce.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

15P Fonds Bob Petit

Des documents textuels. – documents iconographiques.- pièce muséale.

Histoire administrative/Notice biographique :

On peut dire qu’il est un résident de l’hiver et de la neige. Né lors d’une tempête de neige en 1939, il fait du camping d’hiver dans les Laurentides, dès les années 50. À l’arrivée de « l’autoneige » créée par J.-Armand Bombardier, un nouveau sport d’hiver naît. Bob en sera un des promoteurs le plus acharné et le plus efficace.

Au moment où la motoneige connaît un déclin parce que le sport se pratique n’importe comment. Bob Petit avec le comédien Denis Drouin réalise les premiers sentiers balisés de motoneige au Québec pour ainsi civiliser cette activité. C’est à la suite de ses efforts que la motoneige reprend ses lettres de noblesse.

Journaliste au journal « The Gazette », chroniqueur à RDS à l’émission  « Randonnée Qué. en Motoneige », il est animateur encore aujourd’hui à CFNJ. 99,1. Il a la passion de la randonnée.

Fondateur du premier sentier de motoneige provincial, la Trans-Québec en 1975. Il fut Directeur- technique et Vice-président de la Fédération des Clubs de Motoneigiste du Québec (+ de 421 Club). Il est de plus, Promoteur pour Quad et la Fédération Québécoise des Clubs Quads.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds est ouvert et M.G. Beauséjour doit remettre des documents à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement de la documentation sur la vie de Bob Petit et sur le sport de la motoneige.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des cartes postales.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

16P Fonds Niki Fibbiani

7 documents iconographiques.

Histoire administrative/Notice biographique :

Niki Fibbiani et sa femme ont travaillé au Chalet Cochand durant plusieurs années avant d’ouvrir leur propre Restaurent.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds est ouvert et Mme Satu Fibbiani fille de Niki continu de remettre des documents à la Société d’histoire Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson/Estérel.

Portée et contenu :

Le fonds contient principalement des photographies du Chalet Cauchand, 1 carte postale et un paquet d’allumette dont les bouts inflammables ont été enlevés.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Fonds du Chalet Cauchand

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

17P Fonds Ladouceur

3 documents iconographiques.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Ladoudeur a été un employé d’écurie et

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par M. Ladouceur

Portée et contenu :

Le fonds contient 3 photos numérisées sur la période ou le centre culturel était une école d’équitation.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Fonds Maurice Duhamel

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

18P Fonds Bélisle

3 documents iconographiques.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont en langue française et anglaise.

Une huile sur toile de 20 x16 pouces nommé « Automne » a été prêté au Dr Lavigne qui l’expose dans sa résidence du Lac Nord.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

21P  Fonds René Bauset. -[1939-2015] 32 photographies, 3 documents textuels, un DVD

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. René Bauset est un membre du CA de la Société depuis plusieurs années. Il a produit plusieurs documents photographiques. Il est celui à qui on doit la numérisation de nos photos. Il est très proche de la famille Cochand. C’est grâce à lui si nous possédons les documents du fond Cochand. Conférencier sur les Cochand et sur les rumeurs entourant la 2e guerre mondiale et le Domaine d’Estérel.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné René Bauset

Portée et contenu :

33 photos dont une de 1939 représentant René et Pierre Bauset, Paul, Michelle et Madeleine Bienvenue, François Masson et des inconnus faisant du « skijoring »

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du donateur des documents.

Les documents sont des photographies, des légendes produites par M. Bauset ainsi qu’un dossier informatique.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

19P Fonds Madame Katz (1936)

32 plans de maisons.

Histoire administrative/Notice biographique :

On ne connait pas le prénom de Mme. Katz

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Les plans ont été donnés par Mme Katz à la Société en 2013 suite à un article parue dans le « Journal des Pays-d’en-Haut »

Portée et contenu :

Les plans non classé de 1936, représentent des villas rustiques.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du donateur des documents.

Les documents sont des plans

Sources complémentaires : Fonds Maurice Duhamel

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

20P Fonds Maximilian Schulz

33 peintures et autres documents (1933-1984).

Histoire administrative/Notice biographique :

Monsieur Max Shulz est originaire d’Allemagne, né le 21 novembre 1889 dans une ville sur le Rhin. Peintre décorateur de formation, il immigre au Canada en avril 1929 où il exerce son métier de décorateur d’intérieur d’édifices publics et d’églises. En 1933, il achète à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson une ferme de 110 acres sur laquelle est érigée une maison dans le cinquième rang (actuel Ch. Du Haut Bourgeois). Il y élève ses 3 enfants. Ses filles fréquentent le couvent de Sainte-Marguerite. M. Schulz participe aux expositions du Musée des Baux-Arts de Montréal de 1933 à 1937 et il gagne plusieurs prix. Il décède à Ste-Marguerite en 1984.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par la fille de M. Schulz, Lili Schulz Greiner.

Portée et contenu :

Le fonds contient 33 peintures à l’huile ou à l’aquarelle sur différents support qui illustre divers sites de Sainte-Marguerite. Chaque peinture a été photographiée. Plusieurs des peintures ont été accrochées dans l’ancienne salle du Conseil municipal. La Société d’histoire avait prêté les œuvres qui lui ont été remise lors du déménagement. On retrouve également plusieurs exemplaires d’un texte biographique écrit par Dr. Lavigne, de la correspondance.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont en langue française et anglaise.

Une huile sur toile de 20 x16 pouces nommé « Automne » a été prêté au Dr Lavigne qui l’expose dans sa résidence du Lac Nord.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société

21P Fonds René Bauset (1939-2015).

32 photographies, 3 documents textuels, un DVD.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. René Bauset est un membre du CA de la Société depuis plusieurs années. Il a produit plusieurs documents photographiques. Il est celui à qui on doit la numérisation de nos photos. Il est très proche de la famille Cochand. C’est grâce à lui si nous possédons les documents du fond Cochand. Conférencier sur les Cochand et sur les rumeurs entourant la 2e guerre mondiale et le Domaine d’Estérel.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné René Bauset

Portée et contenu :

33 photos dont une de 1939 représentant René et Pierre Bauset, Paul, Michelle et Madeleine Bienvenue, François Masson et des inconnus faisant du « skijoring »

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du donateur des documents.

Les documents sont des photographies, des légendes produites par M. Bauset ainsi qu’un dossier informatique.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

22P Fonds Thomas Dancosst

3 cartes mortuaires, 33 reproductions de photos noir/blanc.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Thomas Dancosst est né à Rivière-du-Loup en janvier 1887. En 1903, il marie Philomène Rousseau, alors âgée de 21 ans. Il aura 7sept enfants, nés de deux mariages. Il élève Lucien Malenfant, son neveu, comme un de ses fils. Après avoir été voiturier, constructeur de clochers, travaillé dans Charlevoix et fait le tour de la Gaspésie, il arrive à Montréal en 1918. Il achète le Café Saint-Hubert et le vent lorsqu’il acquiert le Manoir Sainte-Marguerite, le plus grand hôtel du village. Cet hôtel était très populaire dans les années 1920-30. Un partenariat avec le Ritz Carleton de Montréal, permettait de recevoir des clients aimant la nature et voulant profiter des excursions de pèches et de chasse. C’est ainsi que le baron Louis Empain, à découvert la région. Le Manoir fut la proie des flammes le 29 novembre 1940. La famille possédait une résidence face au Domaine Dancosst ou M. Dancosst pouvait pratiquer son passetemps favori, la menuiserie. On lui doit les bancs de l’église.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par Georges Dancosst

Portée et contenu :

Le fonds contient 3 cartes mortuaires : George (29 octobre 1940), Philomène Rousseau (9 septembre 1962), Fernande Prénoveau (26 février 1983) épouse de feu Léon et feu Thomas Dancosst.

33 reproductions de photos noir/blanc datant 1932 à 1959. Elles proviennent de l’album de la famille. 1 photo (1951) représentant le Centre sportif barricadé.

Un communiqué de la SHSME (1995) annonçant la rencontre « La Manoir Ste-Marguerite » avec Louise Dancosst Pelletier, Georges Dancosst et Albert Parent.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies qui ont été numérisées

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

23P Collection Alain Messier

3 cartes mortuaires, 33 reproductions de photos noir/blanc.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Alain Messier a été membre du CA de la Société durant les années 2013-2014. Sa formation et la grande partie de sa carrière dut dans la force policière de Montréal. Il détient un Bac en histoire de l’UdeM.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par M. Messier

Portée et contenu :

La collection est composée d’un livre « Mémoires d’avant, pendant et après mes années dans la Police de Montréal ; Charles Latulippe. Encadrement d’une page d’un cahier de recensement d’infractions commise à compter du 7 novembre 1942 à Montréal.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

24P Fonds famille Ouimet 1880-1949-2002

3 cartes mortuaires, 33 reproductions de photos noir/blanc.

Histoire administrative/Notice biographique :

La famille Ouimet fait partie des familles souche de Sainte-Marguerite

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par Mme Pierrette Ouimet Denis, et certaines photos ont été données par Nicole Labonté

Portée et contenu :

Le fonds contient 34 photos de famille, 2 cartes mortuaires : Léonora Miron Boyer, Léonie Labonté vers 1880 et 1900. Un reçu de vente entre Alcide et Johny Pearce daté du 17 avril 1917 à St-Jérôme.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

25P Fonds famille Bonny

7 photographies.

Histoire administrative/Notice biographique :

La famille d’Arthur Bonny est connue dans Sainte-Marguerite depuis les années 1938-40.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par M. Bonny

Portée et contenu :

Le fonds contient 7 photocopies : une de M. et Mme Arthur Bonny, une du chalet, une d’une réception donné par la Cie Frigo en 1941, une de l’autoneige utilisé comme navette pour les clients entre le village et le chalet et enfin des vus du paysage depuis le chalet.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des reproductions de photographies.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

26P Fonds  Dextrase

Programme électoral 1981, 151 photos couleurs, 440 diapositives, 2 bandes audio (durée 2h 05)  Écusson Jamboree 1978.

Histoire administrative/Notice biographique :

  1. Yvan Dextraze a été conseiller municipal et maire de Sainte-Marguerite-du-Lac Masson. Il fut un des organisateurs de la grande corvée pour réaménager le Centre-Culturel. Plus de 250 bénévoles ont participé au nettoyage, la peinture, la pose de carrelage, la coulage de béton pour le plancher de la grande salle anciennement le manège.

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné par M. Dextraze au maire Gilles Boucher pour être déposer à la Société d’histoire.

Portée et contenu :

Le fonds contient 151 photos couleurs, 440 diapositives, 2 bande sonore de 2h05 minutes 1977, 02, 05. Les caravanes de motoneiges Trans-Québec Trois-Rivières, un écusson Jamboree 1978 et enfin le programme électoral de 1981 pour la mairie de Sainte-Marguerite.

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des photographies, des diapositives et de bande audio.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.

27P Fonds Sylvie Lukawenko

Dossier de Sœur Anne Félicité, journaux, relique de la croix, photo n/b, 1 document manuscrit.

Histoire administrative/Notice biographique : Il semble y avoir un rapport avec la famille d’Armand Dugas

Histoire de la conservation/Source immédiate d’acquisition :

Le fonds a été donné au maire Gilles Boucher par Maurine Gauthier pour être déposer à la Société d’histoire.

Portée et contenu : Tout le fonds est sur Sœur Anna-Félicité

Notes :

Titre du fonds basé sur le nom du créateur des documents.

Les documents sont des articles de journaux et de bande audio.

Sources complémentaires : Les archives de la municipalité de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.

Source de documents reliés : Fonds institutionnel de la Société d’histoire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et d’Estérel.